Jouer à Free fuck

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 2 ans

Ils en avaient parlé mais, jusqu’à présent, c’était resté dans les fantasmes. Lisa était très excitée par l’idée d’être offerte sexuellement sans possibilité de fuite à des inconnus. Pour satisfaire les petits délires de sa soumise, Max l’avait déjà entravée bras et jambes écartés sur leur lit après l’avoir aveuglée ou cagoulée. Il l’avait laissée patienter, fantasmer avant de venir jouer le rôle du copain puis du client. La fois où il avait joué le client, Max avait changé ses vêtements et mis un parfum très puissant acheté pour la circonstance.

Perdue dans ses fantasmes, elle y avait cru ce qui vexa un peu son Maître, même si il avait tout fait pour qu’elle le prenne pour un autre. En fait, elle avait énormément joui et c’est plus ça qui avait piqué son amour propre.

Leurs petits jeux de domination soumission faisait beaucoup d’effets à Lisa. Se promener nue sous une robe légère en forêt, avec un rosebud dans les fesses, la faisait beaucoup mouiller. Se sentir offerte l’a toujours faite grimper aux rideaux, en réalité aux branches des arbres lorsque, dans la forêt, il la possédait comme un rustre en lui parlant des bucherons imaginaires qui attendaient leur tour.

Lors de leurs vacances d’été, cette année dans les gorges du Gardon, lorsqu’ils se sont rendus au bord de la rivière dans une zone isolée des regards, Max a emporté de quoi jouer BDSM et un feutre. Étendue nue sur sa serviette de bain entre les arbres, les yeux de Lisa se sont mis à briller en découvrant qu’il sortait des cordes de bondage. Max l’a entravée bras écartés couchée sur le ventre avant d’écrire « Free fuck » sur le bas de son dos avec une petit flèche dirigée vers son sublime fessier.

Après lui avoir fait voir son dos, avec une photo prise avec son mobile, Max lui a annoncé qu’il allait lui mettre une cagoule et la laisser entravée deux heures. Si pendant ces deux heures un homme était intéressé, il le laisserait faire.

Lisa ne sut quoi répondre. Si ce fantasme l’animait, entre le fantasme et la réalité, il y a un pas que l’on ne franchit parfois jamais. Là, ce serait le hasard qui déciderait et cela la perturbait. La cagoule posée, elle était autant inquiète qu’excitée. En grand coquin, Max la caressa intimement pour continuer de faire monter la pression. Lisa aurait bien aimé qu’il la possède sur le champ mais il n’en fit rien, hormis lubrifier sa petite fleur pour y placer un rosebud.

Pour Max, cette étape était difficile car, si jouer à des jeux de sexe l’amusait, laisser sa femme se faire prendre par un autre homme ne comptait pas réellement de ses délires. Malgré tout, il avait décidé de jouer le jeu au moins une fois et c’est, dans ce but, qu’il déposa des préservatifs sur le dos de sa soumise.

Assez perturbé, Max décida d’aller piquer une tête dans les eaux chaudes du Gardon. Contrairement à Colias, où il y a des sources, au Nord du Pont Saint Nicolas la température de l’eau est bien plus chaude. Lorsqu’il vit un touriste remontant la rivière à pied, son instinct protecteur le ramena à la berge de toute urgence.

L’homme s’arrêta net en découvrant une femme nue, entravée. Il regarda autour de lui pour chercher à comprendre et, en s’approchant d’elle, découvrit les indications « Free fuck ».

  • Si vous êtes intéressé, elle est à vous ! Lui indiqua Max en le faisant sursauter.

  • C’est vrai, c’est réel, ce n’est pas un piège ?

  • Non, la seule chose que je vous demande c’est de mettre un préservatif !

  • Elle est d’accord ?

  • Est-elle en train de se débattre ou d’appeler au secours ?

L’homme s’approcha alors de Lisa pour apprécier sa plastique. Après s’être agenouillé, il caressa le bas de son dos avant de laisser glisser sa main sur ses fesses. Mentalement très chaude, Lisa se cambra pour mieux les exposer à la caresse. Ce n’est que quand il embrassa ses sublimes fesses offertes que Lisa sentit aux poils de barbe, que ce n’était pas son Maître, que cette fois, elle allait y passer. Morte de honte, elle sera les cuisses.

  • Lisa écarte ! Cria Max d’un ton ne laissant pas d’autre solution.

Prise dans le jeu monté par son Maître, elle les écarta aussitôt laissant donc, un libre accès à son intimité. Sa respiration s’accéléra, sa gorge se serra mais elle ne fit rien pour essayer de se dérober à la main glissant sur ses lèvres intimes. Lorsqu’une phalange se mit à jouer la spéléologue dans ce cratère fort humide, elle fut submergée de honte et, en même temps, très fière d’être capable d’assumer. L’homme ne tarda pas à s’agenouiller entre ses cuisses, leur interdisant de fait, la possibilité de se refermer. Ni une ni deux, l’homme sortit son sexe bandé d’une taille respectueuse. Il déchira l’emballage d’un préservatif, lui aussi, offert. Sans tarder, il l’enfila et s’allongea sur Lisa toute tremblante.

D’une main, il guida sa verge pour trouver la faille dans laquelle il s’engouffra sans tarder. En se sentant ainsi pénétrée sans préliminaire, sans plus de caresse et par un inconnu, Lisa se sentit réellement soumise sexuelle. Les yeux fermés, même si elle ne pouvait rien voir à cause de la cagoule, elle s’abandonna sans tarder aux sensations purement sexuelles. Rapidement, elle se sentit comme un simple orifice, là pour satisfaire le plaisir masculin. C’est cette sensation qui la fit grimper rapidement dans un plaisir nouveau, pourtant physiquement proche de ses rapports sexuels avec son mari.

« Je ne suis plus qu’un trou, une pute soumise » pensa Lisa habituellement plus modérée dans ses paroles et ses pensées.

Tirer sur les cordes l’entravant, r e n f o r ç a également la sensation d’être l’esclave juste bonne à saillir. La queue de cet inconnu profitant d’elle devenait sublime, elle s’y abandonna en gémissant de bonheur jusqu’à l’implosion des sens. En voyant sa femme jouir en vibrant de tous ses muscles, Max fut partagé entre jalousie et le plaisir de voir sa femme heureuse. La sentir prendre du plaisir et se tordre de bonheur sous sa queue, déclencha le plaisir de l’inconnu qui, quelques secondes plus tard s’écroula sur elle pour reprendre son souffle.

Après avoir déposé quelques baisers sur les épaules de la belle, il la remercia et se retira. Max lui fit signe de partir, chose que l’homme fit sans tarder après avoir remonté son short en gardant le préservatif encore en place.

Après ce magnifique spectacle, (voir l’envol de sa femme au septième ciel) Max éprouva a son tour le besoin de la posséder. Il retira le rosebud des fesses de sa soumise et, sans dire un mot, la sodomisa lui aussi sans plus de préliminaire. Au début, perdue dans la bulle plaisir, Lisa ne le reconnut pas et le trouva rustre. Quand il planta ses dents dans son cou pour la mordiller avec amour, elle sut qui était le mâle lui ravageant sauvagement les reins. Elle put alors se lâcher, crier, tirer sur ses entraves comme si elle désirait luter.

Max enroula sa main autour du cou de sa soumise et ne lui fit pas de cadeau. Lisa se sentit alors devenir chienne soumise. Elle monta tellement haut dans les plaisirs physiques et psychiques qu’elle craqua et se mit à pleurer de bonheur. Elle vibrait, jouissait, criait, pleurait, ne contrôlait plus rien, son corps lui avait échappé.

Après avoir joui dans le creux de ses reins, Max ne tarda pas à libérer ses poignets, les cordes commençaient réellement à faire garrot. Lisa trouva assez d’énergie pour le happer dans ses bras et lui crier des centaines de « je t’aime » en le couvrant de bisous. Elle finit même par aller embrasser et sucer la verge qui venait de la rendre heureuse. Cela gêna Max, il s’inquiéta de ne pas être très propre, mais dans l’état cérébral où était sa soumise, elle s’en moquait.

Passant derrière la colline, le soleil fit redescendre la température, c’est ce qui réveilla nos tourtereaux. Les coquins se rhabillèrent pour remonter les rives du Gardon main dans la main comme des amoureux sous les yeux de mamans innocentes* attendries.

  • Mamans et innocentes est antinomique, les bébés ne naissent pas dans les choux.

Fin

TSM

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PRÉCISIONS
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Toutes les soumises ne sont PAS soumises sexuelles.
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Merci TSM pour cette aventure en pleine nature, voilà un promeneur qui ne regrette pas d'être parti marcher seul :-)
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